Abonnement juridique à coût partagé, vous en rêviez? Getavocat le fait...

Abonnement juridique à coût partagé, vous en rêviez? Getavocat le fait...




L’économie du partage essaime dans de nombreux domaines. Si « l’union fait la force » encore faut-il commercialement savoir lui donner corps et permettre à de nouveaux concepts d’émerger… et de rester viable dans le temps. Chez Getavocat on aime travailler dans le domaine de l’innovation, l’accompagner, lui permettre de prendre corps. Et parfois même, on aime aussi tout simplement innover. En 2014, première grosse innovation : l’abonnement forfaitaire illimitée repris depuis quelques mois par d’autres cabinets. Vous savez quoi les confrères,  en 2019 vous allez encore pouvoir copier, on a trouvé une nouvelle idée !

 
De quoi que tu causes?

C'est vrai ça, c'est quoi d'abord cette idée ? C’est celle d’un abonnement à coût partagé. Pour ceux qui connaissent, l'abonnement, c'est l'abonnement. Pour les autres, c'est la possibilité de recourir aux services d'un avocat en échange d'un coût forfataire tous les mois pendant une durée déterminée et, dans le cas de Getavocat, sans limitation d'heures ou de prestations (sauf quand je sais pas faire : le tiramisu par exemple, je sais pas faire). Depuis 2014, Getavocat accompagne ainsi nombre d'entreprises dans le domaine juridique et plutôt dans sa zone de confort qui est, pour simplifier, le droit lié aux activités numériques.

Mais financer un tel abonnement pour une start-up peut quand même représenter un défi. Et généralement, c'est le bénéfice d'un financement qui permettra de s'adjoindre cette "direction juridique externalisée" fort pratique... en pratique. Le constat c'est que les PME souscrivent plus volontiers que les Start-Up qui n'ont souvent pas une thune...

On allait quand même pas en rester là...



"On partage l'addition les gars?"

Le consat était assez simple en réalité : qui n'a pas un jour partagé une addition dans un restau, mis au pot commun dans une soirée pizzas/bières/foot, partagé le coût d'un taxi, d'un transport quelconque ou encore de passage à la Jonquera partagé le coût de.... euh.... Bref,  L'idée n'a vraiment de rien de nouveau : le bénéfice d'un service profitant à plusieurs tout en partageant son coût. Simple.

Bon si des confrères me lisent, inutile de me dénoncer au Bâtonnier le plus proche : non je n'assimile pas les avocats à des pizzas (encore que le concept "Pizzavocat, une pizza achetée, une plaidoirie offerte" ferait sûrement un malheur, mais je m'éloigne du sujet).

Il fallait donc transposer ce concept simple à l'abonnement juridique. L'expérience acquise dans l'abonnement juridique illimité depuis plusieurs années a bien aidé. Et donc les contraintes ont pu être définies pour rendre le système viable.


 

"On y va à trois.

- Attends ! Quand on y va à trois, on y va à trois ? Ou bien on compte jusqu'à trois et puis on y va ?" (L'arme fatale 2, Martin et Roger (coincé sur ses toilettes dynamitées)



Et oui, comme le dit cette magnifique référence cinématographique, on y va donc à trois à l'abonnement groupé, ou partagé ou communautaire, ou social, ou comme vous voudrez l'appeler. On se réunit à 3 start-up minimum et on divise ainsi le coût total de l’abonnement en 3 tout en conservant le droit aux mêmes prestations que dans un abonnement individuel.

Coût : 250€HT/startup et par mois pendant 12 mois.

L’accès à des services juridiques vraiment accessibles à prix réduit, tant qu’on est petit. Le service ne s'entend que s'il est mis à disposition de petites strucutres en phase de lancement. Car en grossissant, souvent les besoins eux aussi prennent de l'ampleur et l'offre devient moins viable pour le cabinet. qui ne peut plus ensuite remplir le réservoir de ses Porsche. Comme le dit le slogan : « petit à petit on devient moins petit ». On peut (doit !) alors s’orienter vers une offre individuelle.

Les prestations n'ont rien de low cost comme me l'a si aimablement dit un confrère un jour (l'avocat évolue généralement dans un monde professionnel d'amour et de respect mutuel. Si, si...) . Si l'innovation est notable dans le domaine juridique, la relation qui s'établit entre le client et l'avocat demeure, elle, conforme aux exigences de confidentialité. L'imperméabilité est totale entre les entreprises signataires de l'offre. A vrai dire, pour elles, l'abonnement à coût partagé n'a de partagé que le tarif... puisqu'il fonctionne ensuite comme un abonnement classique.



A long time ago...

Bon... soyons honnête, l’idée n’est pas 100% nouvelle. 100% Getavocat, mais pas 100% nouvelle.... A vrai dire elle avait même été proposée sur Getavocat il y a quelques années. Et ce fut un bide total… Personne n’a souscrit. Impossible donc de tester le concept.
 
Et puis le hasard étant joueur, alors même que l’offre était retirée du site web, un accélérateur de Sart-Up est venu trouver Getavocat pour lui dire que ce système lui plaisait bien. C’est ainsi que 9 start-up ont pu bénéficier en même temps de l’accompagnement de Getavocat pendant 12 mois.
 
Côté intendance, le cabinet se connecte sur le Slack des entreprises dans un chanel créé spécialement (#legal ou #avocat…). A l’issue de cette année qui a du coup servi de test grandeur nature, le bilan fut vraiment satisfaisant : le terrain était préparé pour un nouveau lancement de l’offre collective. Et cette fois, cela semble enfin prendre. Les afficionados du langage commercial évoqueront sans doute un meilleur « time to market »…
 
Bref, l’abonnement à coût partagé, chères amies start-up, ça marche ! Reste désormais à rendre l’offre « sexy » en terme de communication.
 
Mince alors, comment on fait déjà?



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